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WOMEN FEMMES NB

 

 

DANS CE NUMÉRO :

Article en vedette :
La violence verbale est meurtrière    

Avis

Le saviez-vous ?

Actualités :
    - Sexisme informatique : le code source écrit par les femmes est moins respecté
    - Le féminisme rayonnant de Chimamanda Ngozi Adichie
    - Violences conjugales : Les jeunes femmes diplômées plus touchées?    

Réflexions

 

La violence verbale est meurtrière

Malgré toutes les campagnes d'information, les publications, la médiatisation faite autour de la violence psychologique, celle-ci reste trop souvent incomprise et niée. Pourtant les mots peuvent être aussi meurtriers, parfois bien plus meurtriers, que des coups physiques.

"Parce qu'il n'y a pas eu de coups... parce que ce n'est que des mots..." Combien de victimes de violences psychologiques ont entendu cette phrase en allant porter plainte, plainte qui leur a été refusée au prétexte qu'il n'y avait ni bleu ni blessure? Combien de victimes n'ont pas réagi, se croyant illégitimes à le faire, et trop sensibles, car "ce ne sont que des mots..."? Les victimes d'une telle violence restent le plus souvent silencieuses, par devoir et incompréhension. Cependant leur corps subit une souffrance constante.

La violence psychologique est une violence quotidienne. Chaque jour, la victime va entendre des injures, des insultes, des menaces, des dénigrements. Chaque jour, elle va s'affaisser un peu plus. Moralement, et physiquement. Que le ton employé soit froid, méprisant et distant, ou encore que ce soit en hurlant, l'agresseur poursuit un but précis: mettre à terre physiquement sa victime, la réduire à néant. Et la victime s'abîme. Perte de sommeil, perte d'appétit, tensions musculaires, douleurs aux cervicales, aux lombaires, migraines, nausées... sont les premiers symptômes physiques de ces coups verbaux.

Car à force d'entendre ce qui lui est injustement et violemment adressé, la victime se replie physiquement sur elle. Elle fait "le dos rond", au sens littéral, espérant mieux supporter la vague d'insultes qui déferle sur elle, espérant que cette vague va finir par glisser sans laisser de trace. Elle se contracte, elle se retient de réagir, anticipant les réactions de son agresseur si elle manifestait la moindre opposition.

Elle perd en appétit, s'alimente mal, perd en vitamines, en protéines, abîme son corps sans s'en rendre compte et sans y attacher la moindre importance. Entièrement focalisée sur ce qu'il va lui être dit, elle en oublie ses besoins vitaux, est perpétuellement aux aguets afin de pouvoir répondre et se protéger si besoin. (…)

Suite : http://www.huffingtonpost.fr/anne-laure-buffet/la-violence-verbale-est-m_b_9459132.html

 

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AVIS

Le Gala des métiers et technologies pour filles – St. Stephen (Cet évènement est en ANGLAIS). Il y aura un Gala des métiers et technologies pour filles le jeudi 7 avril de 17h30 à 20h à St. Stephen High School. Toutes jeunes filles du secondaire de la 9e année à la 12e année sont invitées de venir explorer des carrières non-traditionnelles et de rencontrer des femmes fascinantes qui travaillent dans ces domaines. Cet événement est gratuit et un souper de pizza sera fourni. Pour vous inscrire ou pour plus d’information, veuillez visiter notre site Web ou envoyez un courriel à [email protected] ou appelez le (506) 462-5910..

Le Gala des métiers et technologies pour filles – Fredericton (Cet évènement est en français). Il y aura un Gala des métiers et technologies pour filles le jeudi 21 avril de 17h30 à 20h à l’École Saint-Anne. Toutes jeunes filles du secondaire de la 9e année à la 12e année sont invitées de venir explorer des carrières non-traditionnelles et de rencontrer des femmes fascinantes qui travaillent dans ces domaines. Cet événement est gratuit et un souper de pizza sera fourni. Pour vous inscrire ou pour plus d’information, veuillez visiter notre site Web ou envoyez un courriel au [email protected] ou appelez le (506) 453-8126

Atelier: Introduction aux conseils d’administration pour les femmes.  Animé par Aldéa Landry, l’atelier cible les femmes qui souhaitent siéger sur des conseils d’administration et qui veulent savoir à quoi il faut s’attendre une fois devenue membre, et comment cela peut aider leur carrière.
    · Edmundston (en français) le mardi 19 avril, 13h à 16h, Centre de congrès d'Edmundston, 30$.
      Contactez : [email protected] ou 506-473-9775.
    · Fredericton (en anglais) le mercredi 20 avril, 13h à 16h, Planet Hatch, 30$. Contactez :
      [email protected] ou 506-452-3918.
Places limitées, réservez dès maintenant !

Le Service public d’éducation et d’information juridiques du Nouveau-Brunswick (SPEIJ-NB) est fier d’offrir les ateliers suivants en droit de la famille pendant le mois d’avril:
    · Fredericton – 20 avril 2016, 19h – 21h – Separation: Legal Considerations  à UNB, Ludlow Hall
    · Moncton – 20 avril 2016, 18h30 – 20h30 – Changing a Child Support Order à la Bibliothèque
      publique de Moncton
    · Saint John – 27 avril 2016, 18h30 – 20h30 – Separation: Legal Considerations  à la Bibliothèque
      publique de Saint-John, succursale est
Vous devez vous préinscrire pour les ateliers. Pour s’inscrire, complétez le formulaire électronique ou téléphonez la ligne sans frais en droit de la famille au 1-888-236-2444.

Condition féminine Canada aimerait recevoir des projets qui donneront aux femmes les outils nécessaires pour participer plus activement à la vie démocratique et publique du Canada. Les organismes peuvent proposer un projet en vertu du Volet 1 de cet appel de propositions – Outiller les femmes autochtones pour renforcer les communautés – en présentant un dossier de candidature d’ici le 1er juin. Les organismes peuvent proposer un projet en vertu du Volet 2 – Outiller les femmes pour la vie politique et Outiller les femmes pour l’action communautaire – en présentant un dossier de candidature d’ici le 2 mai. Pour en savoir plus : http://bit.ly/1Kv5NZ3 ou http://swc-cfc.gc.ca/fun-fin/cfp-adp/2016-1/index-fr.html

Prix de la Semaine de sensibilisation à la situation des personnes handicapées. Pour souligner la Semaine de sensibilisation à la situation des personnes handicapées, le Comité directeur de la SSSPH et le Conseil du Premier ministre sur la condition des personnes handicapées vous offrent l’occasion de soumettre la candidature d’une personne, d’une organisation ou d’une communauté pour un prix provincial ou le Prix de l'honorable Andy Scott. Vous connaissez quelqu'un qui mérite d’être reconnu pour leur service et leur engagement envers les personnes ayant un handicap? Remplissez le formulaire de mise en candidature sur le site Web à www.gnb.ca/conseil et soumettez-le avant le 6 mai 2016.

Une Canadienne sur un BILLET.  La Banque du Canada invite les Canadiens à proposer le nom d’une femme emblématique du pays qui figurera sur un nouveau billet de banque. Apprenez-en plus sur les conditions requises, le processus de sélection et la façon de nous aider à faire connaître cette campagne historique. http://bit.ly/1WsLBIj

Perspectives actuelles au sein des organismes, conseils et commissions (OCC) du Nouveau-Brunswick : Les femmes et les hommes les plus qualifiés et ayant une intégrité personnelle et professionnelle des plus élevées sont invités à poser leur candidature pour rendre service au public au sein des organismes, conseils et commissions (OCC) du Nouveau-Brunswick. Pour plus d'informations, consultez le lien suivant : Opportunités actuelles d'OCC

Forum de concertation – Les voix des femmes du Nouveau-Brunswick : Contactez-nous : Édifice Sartain MacDonald, 551, rue King, Bureau 103,  Fredericton NB E3B 1E7, T. 506.462.5179, 1-844-462-5179,  F. 506.462.5069, C. [email protected],  www.voixfemmesnb-voiceswomennb.ca

 

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En 2012 à l’échelle provinciale, les femmes de 20 à 64 ans étaient plus portées à être actives physiquement que leurs homologues masculins. Les femmes se situant à l’une ou l’autre des extrémités de la courbe d’âge (de 12 à 19 ans et 65 ans et plus), étaient toutefois moins portées vers l’activité physique que les hommes de ces âges.
 
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Actualités :

Sexisme informatique : le code source écrit par les femmes est moins respecté

Une étude conduite sur GitHub met en lumière le fait que les contributions des femmes en matière de programmation sont moins bien considérées que celles des hommes.

Si vous avez suivi des études d’informatique ou si vous vous passionnez pour l’actualité high-tech, vous avez probablement fait ce constat : les femmes sont très peu présentes dans ce secteur. Les filières qui mènent à des carrières dans les technologies de l’information et de la communication sont à dominante masculine et les postes à responsabilité sont trustés par les hommes.

Prenez par exemple des sociétés comme Apple, Facebook, Google, Microsoft et Twitter : tous emploient environ 70 % d’hommes. Et l’équilibre des sexes n’est guère plus respecté chez les « meilleurs élèves », comme Amazon et Yahoo, dont les effectifs sont masculins quasiment aux deux tiers. Et ce n’est pas un problème spécifique aux géants du web. Intel aussi est dans ce cas de figure.

Et encore, ces statistiques, qui datent de 2014, ne sont pas les plus fâcheuses. En effet, celles-ci incluent la totalité des salariés. Or si l’on se focalise sur les postes à responsabilité ou les emplois techniques, la proportion des femmes est encore plus faible (entre 17 et 27 % de femmes cadres et entre 10 et 20 % de techniciennes). C’est dire si la féminisation de la tech a encore du chemin à parcourir.

Ces données posent évidemment la question des obstacles qui les empêchent d’opter pour une carrière dans le secteur informatique. Mais elles interrogent aussi sur la façon dont le travail des femmes peut être perçu par leurs collègues masculins, dans un univers trop masculin.

Préjugés sur le code écrit par des femmes

Or justement, une étude publiée dans la revue PeerJ tend à montrer que les contributions des développeuses ne sont pas considérées à leur juste valeur. Les femmes seraient victimes d’un préjugé trompeur, conscient ou inconscient, selon lequel elles seraient moins aptes à produire du code de qualité. (…)

Suite : http://bit.ly/1SPO69p

 


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Le féminisme rayonnant de Chimamanda Ngozi Adichie

Quand, ce jour de décembre 2012, Chimamanda Ngozi Adichie avance vers le micro, sur l’estrade du TEDx­Euston, à Londres, elle se demande si son discours a la moindre chance de capter l’attention de son auditoire. Quelques semaines plus tôt, son frère et son meilleur ami, organisateurs de l’événement pour cet organisme destiné à promouvoir la diversité, le dynamisme et le potentiel de l’Afrique, lui avaient proposé d’intervenir.

Mais voilà : l’écrivaine nigériane pense qu’elle n’a rien à dire. « J’ai failli refuser, se souvient-elle. Alors ils m’ont dit : “Pourquoi ne parlerais-tu pas des sujets qui animent tes discussions avec tes amis et ta famille ?” Il se trouve que le féminisme était à cette époque à l’ordre du jour. »

Trente minutes plus tard, elle quitte la tribune sous les applaudissements. Sur YouTube, son discours affiche aujourd’hui plus de 2,5 millions de vues. On y voit la romancière expliquer avec intelligence, humour et lucidité pourquoi elle se définit comme une « féministe africaine heureuse qui ne déteste pas les hommes, qui aime mettre du brillant à lèvres et des talons hauts pour son plaisir, non pour séduire les hommes  ». Inspiré de son vécu, le texte devient viral. Au point qu’en décembre 2013 Beyoncé en sample des extraits dans sa chanson Flawless.

Pourtant, rien dans la bibliographie de l’auteure de L’Autre Moitié du soleil (Gallimard, 2008), Orange Prize britannique 2007, ne l’a prédisposée à devenir une icône Web du féminisme. D’ailleurs, avant cette conférence à Londres, Chimamanda Ngozi Adichie avoue n’avoir jamais rien écrit ou prononcé sur le ­sujet.

Pour la genèse de cette conférence TED, il faut donc remonter bien plus loin, dans les années 1980, un jour de rentrée scolaire, sur les bancs d’une école primaire à Nsukka, dans le sud-est du Nigeria. La maîtresse annonce que celui qui obtiendra la meilleure note à un devoir sera nommé chef de classe. La ­future romancière a 9 ans et rêve d’être chef. (…)

Suite : http://bit.ly/1UjW89X

 

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Violences conjugales : Les jeunes femmes diplômées plus touchées ?

FRANCE - En 2014, 118 femmes et 24 hommes ont été tués par leur conjoint. Le plus souvent, ce constat s’arrête à ces chiffres, mais depuis hier on en sait plus sur le profil des victimes.

En effet, en collaboration avec l'INSEE, l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONEDRP) a rendu public une étude sur les victimes de violence conjugales. L'organisme s'est basé sur les réponses de plus de 50 000 personnes âgées de 18 à 75 ans, obtenues entre 2008 et 2014…

Les femmes sont sans surprise les premières touchées

Cette étude ONDRP rappelle que les femmes sont les premières victimes des violences conjugales« Hommes et femmes ne sont pas confrontés à la même chose..Près de 50 % des femmes victimes disent avoir subi trois actes de violence ou plus sur deux ans, et plus de 45 % ont subi au moins un acte avant la période de l’enquête. C’est une violence chronique. Alors que chez les hommes victimes, c’est l’acte unique qui est majoritaire. » a déclaré Cyril Rizk, responsable des statistiques à l’ONDRP.

Un problème visant principalement les femmes de moins de 25 ans

Le taux de victime diminue au fur et à mesure que l'âge des interrogés augmente. 35 % des femmes victimes de violence sont âgées de moins de 25 ans, un pourcentage considérable…

Plus la femme est diplômée, plus le risque augmente

L’ONDRP certifie que, de manière générale, les femmes diplômées mais dont le conjoint l'est moins sont les plus touchées. Ainsi quand la femme se retrouve être d'un niveau bac ou niveau supérieur alors que son conjoint est, lui, sans diplôme, le taux de violence atteint 40 %. Si on inverse leur niveau de diplôme, le pourcentage n'est que de 10 %. (…)

Suite : http://bit.ly/1S01B6S  


 

Réflexions

« Il ne faut jamais avoir peur de ce que l’on fait lorsque c’est la chose à faire. »

-Rosa Parks

 

 

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