Gouvernement du Nouveau-Brunswick

Direction de l'égalité des femmes
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WOMEN FEMMES NB

 

 

DANS CE NUMÉRO :

  • QUARANTE FEMMES NOMMÉES À DES ORGANISMES, CONSEILS ET COMMISSIONS DEPUIS AVRIL
  • AVIS
  • LE SAVIEZ-VOUS ?
  • LES PROBLÈMES AUXQUELS, PENDANT LEURS RÈGLES, LES FEMMES DU MONDE ENTIER SONT CONFRONTÉES (ET COMMENT LEUR SIMPLIFIER LA VIE)
  • POURQUOI INTERNET EST-IL TROP SOUVENT HOSTILE AUX FEMMES ?
  • UN DEMANDEUR D'ASILE SUR QUATRE EST UNE FEMME... ET COURT UN PLUS GRAND DANGER

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QUARANTE FEMMES NOMMÉES À DES ORGANISMES, CONSEILS ET COMMISSIONS DEPUIS AVRIL

Quarante femmes ont été nommées par le gouvernement provincial pour siéger à des organismes, conseils et commissions depuis avril.

« Certaines des économies et des entreprises les plus performantes du monde comptent la plus forte proportion de femmes au sein de leurs organismes décisionnels », a déclaré le premier ministre, Brian Gallant. « Le fait de voir davantage de femmes s’engager et assumer des rôles de prise de décision dans la province aura pour effet de stimuler la création d’emplois. Ces femmes font preuve de leadership dans leur engagement à faire croître notre économie et à remettre notre province en marche. »

De toutes les nominations faites au sein des organismes, conseils et commissions depuis le 1er octobre 2014, un total de 71 (56,35 pour cent) étaient des femmes. De ce nombre, 40 d’entre elles ont été nommées depuis avril 2015.

Cette augmentation est conforme à l’engagement du gouvernement visant à nommer davantage de femmes à ces organisations.

Au cours des 20 dernières années, le nombre de femmes nommées par le gouvernement provincial s'est maintenu à environ 30 pour cent.

https://www2.gnb.ca/content/gnb/fr/nouvelles/communique.2015.08.0753.html

 

 

AVIS

Coalition contre l'abus dans les relations, Inc. 1er tournoi de golf annuel Moncton! Jeudi 24 septembre au Moncton Golf & Country Club.    Les inscriptions débuteront à 11h00. « Gun Shot tee-off » à 12h30. Accords de mets & vins le mercredi 23 septembre au River Station Chocolat, Chambre de Cacao. Cocktail débutera à 18h00. L’accord de met & vins sera servi à 19h00. Frais d’inscription : 200 $ par joueur/joueuse. Met & Vin seulement – 100 $ par personne. Pour vous inscrire, s’il vous plait transmettre les enregistrements à [email protected].  Les chèques doivent être payable à « la Coalition contre l’abus dans les relations » et être postés au :  CAAR, 118, rue Mountain, Moncton (N.-B.) E1C 2K7. Toute question peut être dirigée à 506.853.3584 http://www.coalitionagainstabuse.com/?lang=fr

Place au Débat demande à tous les partis politiques de s’engager à soulever la question de l’égalité des sexes et celle des droits des femmes à chaque étape de la campagne électorale, notamment de façon proactive au cours de chaque débat électoral. Signez la pétition ou visitez le lien pour en savoir plus : http://placeaudebat.ca/

Les organismes, conseils et commissions (OCC) du Nouveau-Brunswick : Les femmes et les hommes les plus qualifiés et ayant une intégrité personnelle et professionnelle des plus élevées sont invités à poser leur candidature pour rendre service au public au sein des organismes, conseils et commissions (OCC) du Nouveau-Brunswick. Postes à pourvoir : Présidente ou président ainsi qu’une présidente suppléante ou un président suppléant des tribunaux et commissions de recours constitués en vertu de la Loi sur la santé mentale du Nouveau-Brunswick. Les candidates ou candidats doivent être membres en règle du Barreau du Nouveau- Brunswick. La présidence de chaque tribunal et commission de recours offrent des possibilités stimulantes et enrichissantes aux personnes qui s’intéressent aux questions de santé mentale et au droit. Les personnes choisies veillent à ce que les personnes dont la maladie mentale risque de causer des torts physiques ou psychologiques à elles-mêmes ou à autrui aient un accès égal aux traitements nécessaires et à ce que les droits qui leur sont garantis par la Charte soient respectés. Pour obtenir de plus amples renseignements sur les postes vacants au sein des tribunaux et commissions de recours constitués en vertu de la Loi sur la santé mentale du Nouveau-Brunswick, consultez le lien suivant : Opportunités actuelles d'OCC

Forum de concertation – Les voix des femmes du Nouveau-Brunswick – Contactez-nous : Édifice Sartain MacDonald, 551, rue King, Bureau 103,  Fredericton NB E3B 1E7, T. 506.462.5179, 1-844-462-5179,  F. 506.462.5069, C. [email protected],  www.voixfemmesnb-voiceswomennb.ca

 

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Les femmes représentent 49 % de la population qui fréquentait les collèges communautaires du Nouveau-Brunswick à temps plein pendant l’année scolaire 2012/13. Ceci reflète 1 841 femmes d’un total de 3 878 étudiants au NBCC et 1 059 femmes d’un total de 1 982 étudiants au CCNB.
 

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LES PROBLÈMES AUXQUELS, PENDANT LEURS RÈGLES, LES FEMMES DU MONDE ENTIER SONT CONFRONTÉES (ET COMMENT LEUR SIMPLIFIER LA VIE)

SANTE - Les habitantes des régions déshéritées redoutent la période des règles, qui fait pourtant partie du cycle de la santé féminin.

En raison d’un manque d’accès aux protections hygiéniques, les jeunes filles sont souvent obligées de rater l’école et les femmes à faible revenu sont davantage sujettes aux infections et à toutes sortes de désagréments. Dans les régions où le corps des femmes inspire la méfiance, la stigmatisation sociale et les rumeurs les placent au ban de leur communauté, ce qui limite leurs choix professionnels et leurs interactions, avec des conséquences incalculables sur leur bien-être physique, mental et socioéconomique.

Ce problème a été évoqué lors de la dernière Journée internationale d’hygiène menstruelle, mais les militants continuent à lutter contre les tabous dans le monde entier, et à en finir avec les mythes nocifs sur les règles.

Voici quelques exemples d’injustices auxquelles les femmes du monde entier sont confrontées, et ce qu’elles font pour y remédier.

1.Dans de nombreux pays, les jeunes filles utilisent des bouts de matelas ou des feuillages en guise de tampon, ce qui favorise les infections

A 0,55 € l’unité environ, un paquet de serviettes hygiéniques, même bas de gamme, est bien trop cher pour une jeune Kenyane, selon Project Humanity. Résultat : les filles utilisent des torchons, des feuilles, du papier journal, des bouts de matelas ou même de la boue pour se protéger pendant leurs règles. Ces solutions de fortune sont non seulement inconfortables et inefficaces mais également problématiques au niveau hygiénique.

Pour faire en sorte que les jeunes filles disposent des produits sanitaires dont elles ont besoin, et que leurs règles ne les obligent pas à rater l’école, Femme International distribue des kits en Afrique de l’Est. Chacun contient une coupe menstruelle ou des tampons réutilisables, un bol pour laver la coupe, une petite serviette pour s’essuyer, un savon et un petit miroir. (…)

Suite : http://huff.to/1hWYATS

 

POURQUOI INTERNET EST-IL TROP SOUVENT HOSTILE AUX FEMMES ?

Menaces, messages sexuellement explicites : l'année 2014 a été marquée par de nombreux cas de violence en ligne visant les femmes. C'était un des sujets les plus discutés au festival SXSW.

« Blagues » de mauvais goût, messages sexuellement explicites, menaces de viol voire de mort : de nombreuses femmes ont été prises pour cible ces dernières années sur Internet, de la chanteuse écossaise Lauren Mayberry aux différentes protagonistes du « GamerGate » (Zoe Quinn, Anita Sarkeesian, Jenn Frank...), en passant par la journaliste brésilienne Nana Queiroz. Sans compter toutes les anonymes harcelées chaque jour. Ce n'est donc pas par hasard si la question de la place réservée aux femmes sur Internet a été particulièrement discutée cette année au festival South by Southwest (SXSW) d'Austin.

Bien sûr, personne n'est à l'abri de menaces ou de commentaires déplacés sur Internet. Mais les femmes sont une cible de choix. Une étude menée en 2006 par l'université du Maryland a ainsi démontré que, au sein d'un même forum de discussion (« chat room »), les pseudos féminins recevaient 25 fois plus de messages tendancieux ou sexuellement explicites que les pseudos masculins. En avril 2014, la journaliste indépendante Jamie Nesbitt Golden a remplacé la photographie figurant habituellement sur sa page Twitter par celle d'un homme blanc, sans modifier toutefois sa description ni sa manière de s'exprimer sur le réseau social. Résultat, « le nombre de tweets déplacés et condescendants a considérablement chuté », témoigne-t-elle.

Sentiment d'impunité

L'anonymat et le pseudonymat ne sont pas les principaux responsables du harcèlement, estime Katherine Cross, doctorante en sociologie. Certains des commentaires les plus haineux repérés sur Facebook, par exemple, sont en effet écrits par des personnes s'exprimant sous leur véritable identité. (…)

Suite : http://bit.ly/1IjO01c

 

UN DEMANDEUR D'ASILE SUR QUATRE EST UNE FEMME... ET COURT UN PLUS GRAND DANGER

Parmi les 12 133 personnes qui ont demandé l'asile depuis le début de l'année (du 1er janvier au 31 juillet), plus d'un quart sont des femmes. A Jette, un centre de la Croix-Rouge héberge celles qui ont voyagé seules ou avec leur(s) enfant(s). Souvent au péril de leur vie.

La lèvre d’Angèle tremble. Doucement. "Ici je peux appuyer sur pause. Me dire que mon enfant joue deux étages plus haut, que nous sommes tous les deux en sécurité ". La jeune femme a quitté le Cameroun il y a deux ans. Menacée de mort, elle s’est précipitée hors du pays, emmenant avec elle son tout jeune enfant. Dans les mains : deux valises, dans les poches : l’équivalent de 10 euros. A son arrivée au centre pour demandeurs d’asile de Jette, il ne lui restait plus que deux pantalons. "Au fur et à mesure il fallait se débarrasser, il fallait apprendre la simplicité. Oublier sa vie…"

Angèle est arrivée exténuée au centre de la Croix-Rouge, il y a une semaine. Ici, vivent avant tout des femmes : sur 88 résidents, il n’y a que 3 hommes. " On a soit des femmes isolées, soit des femmes avec leur enfant, ou encore des femmes enceintes, qui accouchent ici au centre. On a eu quelques naissances ces derniers mois" explique Chloé Michelet, la directrice adjointe. Les centres d’accueil pour demandeurs d’asile dédiés uniquement aux femmes sont plutôt rares. En effet, la migration reste plutôt le fait des hommes : depuis le début de l’année (7 premiers mois de 2015), 12 133 personnes ont déposé une demande d’asile en Belgique. Parmi elles, il n’y a que 3364 femmes, soit un peu plus d’un quart des demandes introduites. Une partie de ces femmes arrivent en famille. D’autres, comme celles du centre de Jette, voyagent seules ou avec leur(s) enfant(s). Seules sur les routes de l’exil, elles ont affronté la peur et le danger. Alors, comme le raconte Marie Moreau, l'assistante sociale qui les accueille, quand elles arrivent à Jette, il leur faut un peu de temps pour atterrir : " Beaucoup arrivent et on voit dans leurs yeux qu’elles ont peurpendant les deux premiers jours… Puis on les voit d’un coup se relaxer ! " (…)

Suite: http://bit.ly/1IYdajF

 

 

EN FIN DE COMPTE
« Embaucher et appuyer des femmes talentueuses est ce qu’il faut faire
pour notre société; c’est tout à fait nécessaire pour l’économie. »

-Carlos Ghosn
Président de l’Alliance Renault-Nissan

 

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