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WOMEN FEMMES NB

 

 

DANS CE NUMÉRO :

Article en vedette :
Agressions: les Canadiens croient que la majorité des allégations sont vraies


Avis  

Le saviez-vous ?

Actualités :
    - Les résultats d’une nouvelle étude soulèvent des inquiétudes concernant la sécurité des femmes
      et des enfants vivant dans un contexte de violence conjugale
    - Qui doit être inclus dans le recensement : Remarque pour les Canadien.ne.s transgenres,
      transsexuel.le.s et intersexué.e.s
    - Étude sur le harcèlement des femmes dans les médias sociaux      

Réflexions

 

Agressions: les Canadiens croient que la majorité des allégations sont vraies

TORONTO – Les deux tiers des Canadiens croient que la majorité des allégations d’agressions sexuelles sont vraies, selon un sondage mené en ligne à la suite du procès controversé de l’ex-animateur de la CBC, Jian Ghomeshi.

Les résultats ont été jugés «encourageants» par la Fondation canadienne des femmes, qui a commandé le sondage publié lundi.

M. Ghomeshi a été acquitté à la fin du mois de mars par un juge de Toronto qui avait dit qu’il ne pouvait tout simplement pas se fier sur les témoignages des trois plaignantes au coeur de l’affaire.

Le procès, et son résultat, ont déclenché un débat émotif à l’échelle du pays sur la manière dont le système judiciaire traite les victimes présumées d’agressions sexuelles.

Il a aussi amené la Fondation à tenter de mesurer l’impact du dossier sur la perception de la crédibilité des plaignants.

«Nous voulions réfléchir et être en mesure de voir si le procès de Ghomeshi avait eu un impact sur les Canadiens en général, leurs sentiments et leurs réflexions à propos des cas d’agressions sexuelles», a déclaré Anuradha Dugal, directrice des programmes de prévention de la violence à la Fondation canadienne des femmes.

«C’est encourageant que, même si Jian Ghomeshi n’a pas été trouvé coupable, il y a quand même 67 pour cent des Canadiens qui croient que la majorité des cas sont vrais et valides. Je crois que c’est un message important que nous pouvons envoyer», a-t-elle souligné.

En revanche, sept pour cent des répondants estiment que les plaintes sont exagérées et un pour cent qu’elles sont fausses.

Vingt-quatre pour cent des sondés ont toutefois dit qu’ils ne savaient pas qui croire. Une autre question portait sur la personne à blâmer lorsque surviennent de telles agressions et 73 pour cent des répondants ont montré du doigt l’agresseur lui-même. Deux pour cent des sondés jugent que la victime en est responsable. (…)

Suite : http://bit.ly/21u5G3O

 

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AVIS

Le Gala des métiers et technologies pour filles – Woodstock (cet évènement est en anglais seulement). Il y aura un Gala des métiers et technologies pour filles le lundi 9 mai de 17h30 à 20h à Woodstock High School. Toutes jeunes filles du secondaire de la 9e année à la 12e année sont invitées de venir explorer des carrières non-traditionnelles et de rencontrer des femmes fascinantes qui travaillent dans ces domaines. Cet événement est gratuit et un souper de pizza sera fourni. Pour vous inscrire ou pour plus d’information, veuillez visiter notre site Web ou envoyez un courriel à [email protected] ou appelez le (506) 462-5910.

Journée de sensibilisation et d’éducation en matière d'agression sexuelle (Edmundston), en collaboration avec le CVFNO (Comité de la violence familiale au Nord-Ouest), le mardi 31 mai de 8h30 à 16h30 à la salle multifonctionnelle (PSL-105) de l’UMCE et du CCNB. Une intervenante du Centre d'aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (CALACS) sera la conférencière. Il y aura également le témoignage d'une survivante ainsi que des présentations de divers services régionaux, tels que : Services des forces policières, procureur et service aux victimes; Programme SANE (sexual assault nurse examiner); L'Escale MadaVic (Programme pour les survivantes d'agression sexuelle - la stratégie de collaboration); Programme Outreach. L'invitation est ouverte à tous. Nombre de places limité - faites vite pour confirmer et réserver votre place : [email protected] ou (506) 739-7729.

Vous êtes invités au lancement du rapport sur les réalités auxquelles les fournisseurs de services ainsi que les survivantes de violence conjugale en milieu rural font face lorsqu’ils ont recours au système juridique le 30 mai (de 10 h à 11 h 30) ainsi qu’à l’atelier gratuit (13 h à 16 h 30) portant sur le même sujet. Crowne Plaza, 669, rue Queen, Fredericton. Veuillez confirmer votre présence d'ici le 27 mai auprès de Kim Wade, courriel: [email protected]. La traduction simultanée sera disponible. Pour plus d’information, vous pouvez contacter: Rina Arseneault, Directrice adjointe, CMMF au [email protected] / (506) 458-7137 ou Martine Paquet, Consultante travaille sociale, ATSNB au [email protected] / (506) 444-9196.

Nouveau site Web du SPEIJ-NB (Service public d'éducation et d'information juridiques du Nouveau‑Brunswick) adapté aux appareils mobiles – www.legale-info-legale.nb.ca.  Jetez un coup d’œil à leur nouvelle brochure intitulée Droit de la famille à l’intention des immigrants au Nouveau-Brunswick

Le Service public d’éducation et d’information juridiques du Nouveau-Brunswick (SPEIJ-NB) est fière d’offrir les ateliers en droit de la famille suivant pendant le mois de mai: 
    · Caraquet – 14 mai, 10h à 12h – Séparation: considérations juridique au Centre culturel de
      Caraquet
    · Saint John – 18 mai, 18h30 à 20h30 - Preparing for a Family Court Hearing à la Bibliothèque
      publique de Saint-John
    · Fredericton – 25 mai, 19h à 21h – Doing Your Own Divorce à UNB, Ludlow Hall
    · Moncton – 25 mai, 18h30 à 20h30 – Preparing for a Family Court Hearing à la Bibliothèque
      publique de Moncton
Vous devez vous préinscrire pour les ateliers. Pour s’inscrire, complétez le formulaire électronique ou téléphonez la ligne sans frais en droit de la famille au 1-888-236-2444.

« Ce  n’est pas correct! »  Comment reconnaître les signes de mauvais  traitements et aider les personnes âgées qui sont à risque. Ce que vous pouvez faire? Voisins, amis et familles peuvent apprendre à poser ces trois gestes :
1.     RECONNAÎTRE : « Ce n’est pas correct! » Sachez reconnaître les indices de la maltraitance.
2.     NOMMER : « On dirait une situation de violence. » Parlez à l’aîné concerné.
3.     VÉRIFIER : « Est-ce qu’il s’agit de mauvais traitements? Que puis-je faire pour aider? » Posez des questions, obtenez les conseils d’un spécialiste, assurez-vous que la personne n’est pas en danger – aidez-la à préparer un plan d’urgence.

#Onestprêtes! Nouvelle trousse d’information, Projet Participation inclusive à la vie municipale, disponible ici : http://www.rfnb.ca/index.php/actualites/99-petit-guide-a-l-intention-des-femmes-qui-veulent-se-presenter-en-politique-municipale. Ce petit guide à l’intention des femmes qui veulent se présenter en politique municipale est complémentaire à la formation On est prêtes.

Semaine de sensibilisation à la condition des personnes handicapées 2016. Connaissez-vous une personne qui est votre héros de la Semaine de sensibilisation à la condition des personnes handicapées? Une personne qui a accompli des choses que vous jugez inspirantes et motivantes? Une personne qui a participé activement pour accroître la sensibilisation aux questions touchant les handicaps? Une personne qui a fait la promotion d’une société inclusive au Nouveau-Brunswick? Le Conseil du Premier ministre sur la condition des personnes handicapées veut vous entendre! Le Concours commence le 9 mai et se poursuit jusqu’au 4 juin. Pour en savoir plus :  https://www2.gnb.ca/content/gnb/fr/ministeres/cpmcph/promos/daw2016.html

Perspectives actuelles au sein des organismes, conseils et commissions (OCC) du Nouveau-Brunswick : Les femmes et les hommes les plus qualifiés et ayant une intégrité personnelle et professionnelle des plus élevées sont invités à poser leur candidature pour rendre service au public au sein des organismes, conseils et commissions (OCC) du Nouveau-Brunswick. Pour plus d'informations, consultez le lien suivant : Opportunités actuelles d'OCC

Forum de concertation – Les voix des femmes du Nouveau-Brunswick : Contactez-nous : Édifice Sartain MacDonald, 551, rue King, Bureau 103,  Fredericton NB E3B 1E7, T. 506.462.5179, 1-844-462-5179,  F. 506.462.5069, C. [email protected],  www.voixfemmesnb-voiceswomennb.ca

 

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En 2013, la moitié des personnes occupant un emploi au Nouveau-Brunswick était des femmes et l’autre moitié, des hommes.
 
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Actualités :

Les résultats d’une nouvelle étude soulèvent des inquiétudes concernant la sécurité des femmes et des enfants vivant dans un contexte de violence conjugale

Ottawa, le 07 avril 2016 - À l’heure où le Québec réforme son code de procédures civiles, les résultats d’une nouvelle étude soulèvent des inquiétudes importantes concernant la sécurité des femmes et des enfants vivant dans un contexte de violence conjugale. Ces résultats, publiés dans la prestigieuse revue américaine Child & Youth Services Review, révèlent un phénomène fort préoccupant :

  • Un nombre croissant de femmes victimes de violence conjugale sont accusées ou menacées d’être accusées d’aliénation parentale lorsqu’elles ou leurs enfants expriment des craintes légitimes concernant le maintien des contacts entre les enfants et le père;
  • Ces accusations proviennent principalement des ex-conjoints, ainsi que d’intervenants dans le système de protection de la jeunesse et dans le système de justice;
  • Ce phénomène discrédite les femmes et les enfants et ignore leurs craintes légitimes, ce qui a des impacts majeurs sur leur sécurité.

À cet égard, Manon Monastesse, de la Fédération des maisons d’hébergement pour femmes confirme cette tendance dans les maisons à travers la province : « On constate sur le terrain que les mères violentées se retrouvent dans une position intenable dans le système judiciaire lorsqu'elles demandent des mesures de protection pour leurs enfants dans un contexte de violence conjugale: si elles demandent des mesures d'encadrement des droits d'accès du père, elles sont accusées d'aliénation parentale et lorsqu'elles ne le font pas, elles sont alors accusées de ne pas protéger leurs enfants et peuvent perdre la garde ».

Cette étude a été réalisée en 2015 par Simon Lapierre et Isabelle Côté de l’Université d’Ottawa et du Collectif de recherche FemAnVi. Cette étude sera développée davantage au cours des prochaines années, grâce au financement du Conseil de recherche en sciences humaines du Canada.

http://bit.ly/24nKBxa  


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Qui doit être inclus dans le recensement : Remarque pour les Canadien.ne.s transgenres, transsexuel.le.s et intersexué.e.s

Comment les Canadiens transgenres, transsexuels et intersexués doivent-ils indiquer leur sexe [dans le recensement]?

Les données sont recueillies selon deux catégories : masculin et féminin. Les Canadiens transgenres, transsexuels et intersexués doivent indiquer le sexe (masculin ou féminin) auquel ils s’identifient le plus.

Les répondants qui n’arrivent pas à sélectionner une catégorie à la question 2 de leur questionnaire du recensement peuvent laisser sans réponse la question et indiquer à la section Commentaires, qui se trouve à la fin du questionnaire, les raisons pour lesquelles ils ont décidé de laisser la question sans réponse.

Les questions utilisées dans chaque recensement se fondent sur de vastes consultations et mises à l’essai auprès du public. Pour le Programme du Recensement de la population de 2021, Statistique Canada consultera encore une fois les Canadiens sur le contenu du questionnaire du recensement. Cette démarche nous permettra de recueillir des renseignements sur nos utilisateurs et leurs utilisations des données du recensement, et évaluera s’il existe de nouvelles façons de recueillir les données des répondants qui ne se reconnaissent pas à travers les options de réponse actuelles.   

Que fera Statistique Canada avec l’information relative à la question sur le sexe fournie dans la section Commentaires?

En guise de solution, Statistique Canada a offert aux répondants qui n’arrivent pas à sélectionner une catégorie de laisser la question sans réponse et d’utiliser la section Commentaires pour indiquer leur raison. Malheureusement, les raisons pour lesquelles cette question peut être laissée sans réponse sont variées et il n’est pas possible de traiter automatiquement l’information d’une section « commentaires ».

Toutefois, Statistique Canada a l’intention d’étudier cette information et de produire un document analytique pour mettre les conclusions en lumière. Puisque cette analyse ne fait pas partie de notre diffusion régulière de produits de données, elle ne sera pas incluse dans la diffusion sur l’âge et le sexe de mai 2017. (…)

Suite : http://bit.ly/1SZHXIF

 

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Étude sur le harcèlement des femmes dans les médias sociaux

Les médias sociaux sont-ils un « endroit sécuritaire » pour les femmes? Peut-être pas, selon les conclusions d’une nouvelle étude publiée dans l’édition du mois de janvier du magazine américain Glamour.

Afin d’obtenir des résultats pertinents, le magazine a interrogé plus de 1 000 femmes, âgées entre 18 et 59 ans à propos de la façon dont elles sont traitées sur Facebook, Twitter, Instagram, etc.

Une des statistiques les plus percutantes que l’on peut lire dans cette étude est la suivante:

«57% des répondantes ont dit déjà avoir reçu des commentaires très blessants dans les médias sociaux.»

Dans son étude, le magazine déplore le fait que malgré les efforts des grands médias sociaux pour contrer l’intimidation et le harcèlement, seulement 7% des répondantes affirment ressentir que leur environnement s’est amélioré au cours de la dernière année.

À l’inverse, 35% d’entre elles ont déclaré que leur environnement s’était détérioré sur la même période.

Voici d’autres données tirées de l’étude:

  • 25% des répondantes ont déjà reçu des insultes vulgaires;
  • 10% affirment avoir été traquées en ligne et pour 66% d’entre elles, il s’agissait d’un inconnu;
  • 19% ont reçu des commentaires à caractère sexuel non désirés;
  • 8% des sondées ont été victimes de menaces physiques (comme: « tu mérites de mourir »);
  • 52% ont eu à supporter un « troll » dans les médias sociaux;
  • 49% des répondantes ont été intimidées par une autre femme (…);
  • 10% ont admis avoir déjà critiqué leurs amies en ligne;
  • 19% ont admis avoir déjà publié des commentaires durs envers des personnalités publiques;
  • 34% ont préféré se censurer elles-mêmes en publiant moins souvent de photos ou de commentaires, par crainte d’être intimidée par d’autres internautes;
  • 19% des répondantes sont inquiètes pour leur sécurité à cause des médias sociaux.

Suite : http://isarta.com/infos/?p=26162  


 

Réflexions

« La femme est un cercle complet. Elle a le pouvoir de créer, de nourrir et de transformer. »

-Diane Mariechild

 

 

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