Gouvernement du Nouveau-Brunswick

Direction de l'égalité des femmes
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WOMEN FEMMES NB

 

 

DANS CE NUMÉRO :

  • BOURSES ÉGALITÉ FEMME-HOMME
  • AVIS
  • LE SAVIEZ-VOUS ?
  • 1 SEUL CANADIEN SUR 3 SAIT CE QU’EST LE CONSENTEMENT SEXUEL
  • DONNER LES MOYENS D'AGIR AUX FEMMES DES MINES DE L'EST DE LA RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO
  • FEMMES AUTOCHTONES : « GRAVE VIOLATION » DES DROITS, DIT UN COMITÉ ONUSIEN
  • #FHRITP: LA FAUSSE VIDÉO VIRALE À L’ORIGINE D’UNE «FARCE» SEXISTE TRÈS RÉPANDUE

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BOURSES ÉGALITÉ FEMME-HOMME

Est-ce que vous allez au CCNB ou à un collège privé cet automne? Si oui, n'oubliez pas de soumettre votre candidature pour la Bourse égalité femme-homme !      

La date limite pour soumettre votre demande est le 30 juin 2015 pour les programmes commençant cet automne. La bourse est d'une valeur de 2 000 $ par année.

Le programme a pour but d’encourager et de supporter les femmes et les hommes qui poursuivent une carrière dans les domaines non traditionnels.

Tout emploi dans lequel les femmes et les hommes forment moins de 25 % du total de la main-d'œuvre est considéré comme un emploi « non traditionnel ».

Pour en savoir plus, veuillez visiter : http://bit.ly/1LfldMe

 

 

AVIS

Savez-vous que plus de 75% des agressions sexuelles contre des femmes ayant une incapacité mentale sont des événements récurrents, et que la plupart du temps, la personne maltraitante est un aidant?  Compte tenu du mois de prévention contre les agressions sexuels, DAWN-RAFH Canada animera un forum sur Facebook sur la violence sexuelle et les femmes en situation de handicap / les femmes Sourdes.  Nous invitons les femmes en situation de handicap, les femmes Sourdes, les défenseurs et les fournisseurs de services à aller sur notre forum et à partager vos pensées et vos expériences, comme moyen d’augmenter la compréhension collective et la capacité de répondre à ce problème. Le forum sera ouvert jusqu’à la fin du mois de Mai. Visitez https://www.facebook.com/DawnRafhCanada  pour voir notre infographique sur la violence et pour participer à ce forum.

La Coupe du Monde Féminine de la FIFA est le plus grand évènement sportif féminin au monde et le Nouveau-Brunswick sera au centre de l’action. À compter du 9 juin le Stade de Moncton accueillera le monde lors de 7 matchs enlevants. Ne manquez surtout pas cette occasion unique de voir les meilleures joueuses de la planète ici même dans notre région. Pour plus d’informations : http://moncton.fwwc2015.ca/fr/ ou [email protected] Pour l’achat de billets : http://fifa.to/1rWbFRk

Marchons Un Mile Dans Ses Souliers (Shediac) Nous sommes à la recherche de bénévoles pour siéger sur le comité organisateur ainsi qu’accomplir certaines tâches, telles que : servir de la nourriture, distribuer les T-Shirts, accueillir les participants, la collecte de dons et autres durant  l’évènement du « MARCHONS UN MILE DANS SES SOULIERS »  le vendredi 2 octobre 2015. Le tout se déroulera de 11 h 30-14 h 30 au Centre multifonctionnel de Shédiac et consiste à une journée de sensibilisation et de levée de fonds pour mettre fin à la violence contre les femmes dans notre communauté. Si vous êtes intéressé S.V.P contactez Phillis au 506-533-9100  ou cliquez sur  Bénévoles/Volunteers.  Pour en savoir plus : http://www.criseshediacrisis.org/fr/

Nouvelles bottes : le progrès des femmes dans les métiers est une initiative s’échelonnant sur trois ans qui vise à aider les femmes du Nouveau-Brunswick à mener à terme leur apprentissage dans les métiers de la construction. Le but du projet sera de suivre le progrès de 15 à 20 femmes apprenties au cours des derniers trois (3) ans de leur apprentissage, leur offrant un soutien, de l’aide pour résoudre les problèmes et des liens aux ressources nécessaires afin qu’elles puissent réussir dans leur carrière choisie. En outre, l’initiative Nouvelles bottes recrutera des employeurs favorables et introduira les participantes au projet à ces possibilités durables d’emploi. http://bit.ly/1FN4SON

Formation de facilitateur en français du 2 au 4 juin 2015 à Fredericton. Le Centre pour les victimes d’agression sexuelle de Fredericton offrira une formation portant sur deux trousses d’outils. « Les vents du pouvoir » est une trousse de formation à l’animation d’ateliers sur l’autoprotection et l’assertivité à l’intention des femmes et des jeunes filles. « Entre hommes » est une trousse de formation destinée aux personnes qui offrent des ateliers aux hommes et garçons pour la prévention de l’agression sexuelle.  À qui est-ce destiné :  aux éducateurs communautaires, enseignants, conseillers d’orientation ou autres qui dispensent des services auprès des jeunes, des jeunes adultes ou des adultes en vue de prévenir la violence contre les femmes.   Pour suivre cette formation, contactez sans tarder Jenn Richard à [email protected] pour obtenir un formulaire de demande. Frais d’inscription de 150 $. 

Semaine de Sensibilisation à la Situation des Personnes Handicapées : Participez avec le CPMCPH (Conseil du Premier ministre sur la condition des personnes handicapées) à Fredericton à une Marche et roule autour du quartier pour démontrer votre appui pour la Semaine de sensibilisation à la situation des personnes handicapées. Nous serons à l’Assemblée législative à midi le vendredi 5 juin. Venez en grand nombre! Pour plus d’information et un calendrier d’événements : http://bit.ly/1Fi9z4L

Perspectives actuelles au sein des organismes, conseils et commissions (OCC) du Nouveau-Brunswick : Les femmes et les hommes les plus qualifiés et ayant une intégrité personnelle et professionnelle des plus élevées sont invités à poser leur candidature pour rendre service au public au sein des organismes, conseils et commissions (OCC) du Nouveau-Brunswick. Pour plus d'informations, consultez le lien suivant : Opportunités actuelles d'OCC

Forum de concertation – Les voix des femmes du Nouveau-Brunswick – Contactez-nous : Édifice Sartain MacDonald, rue 551 King, Bureau 103,  Fredericton NB E3B 1E7, T. 506.462.5179, F. 506.462.5069, C. [email protected],  www.voixfemmesnb-voiceswomennb.ca

 

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Le Nouveau-Brunswick comptait 702 garderies agréées (568 centre de services, 134 foyers-garderies de type familial), offrant 22 649 places aux enfants de la province, en date de la fin mars 2013.
 
 
 

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1 SEUL CANADIEN SUR 3 SAIT CE QU’EST LE CONSENTEMENT SEXUEL

Une étude menée par la Fondation canadienne des femmes révèle que les limites demeurent floues entre les nouveaux partenaires et les partenaires existants, et entre l’activité en ligne et en personne

Une nouvelle étude menée par La Fondation canadienne des femmes, dont la Campagne annuelle pour mettre fin à la violence durera tout le mois de mai, révèle que même si presque tous les Canadiens (96 %) sont d’avis que l’activité sexuelle entre partenaires doit être consensuelle, les deux tiers d’entre eux (67 %) ne comprennent pas ce qu’est le consentement.

Selon le droit canadien, le consentement doit à la fois être positif (par exemple dire oui, initier et/ou apprécier l’activité sexuelle) et continu (c’est-à-dire être maintenu tout au long de l’activité sexuelle). Seul un répondant sur trois (33 %) reconnait ces deux comportements comme des formes de consentement. 

« Au cours de la dernière année, la question des agressions sexuelles s’est imposée dans la sphère publique, ce qui a contribué à sensibiliser la population à l’importance du consentement », affirme Anuradha Dugal, directrice des programmes de prévention de la violence à la Fondation canadienne des femmes. « Le fait que la plupart des Canadiens s’entendent pour dire que l’activité sexuelle doit être consensuelle est un signe positif portant à croire que les gens comprennent l’importance capitale du consentement. Il est toutefois inquiétant de constater que de nombreuses personnes ne comprennent pas comment se manifeste concrètement le consentement. Cet écart accroit le risque d’activité sexuelle non désirée et d’agression sexuelle et indique qu’il est primordial d’éduquer les Canadiens en matière de consentement. »

Le consentement dans les relations à long terme

Le sondage révèle que certains Canadiens pensent que plus une relation de couple est longue, moins le consentement est important. Tandis que la majorité des Canadiens (97 %) sont d’avis que le consentement est nécessaire à toute activité sexuelle entre des personnes se fréquentant de façon occasionnelle ou entre nouveaux partenaires, 1 Canadien sur 10 croit que le consentement n’est pas nécessaire ou ne sait pas s’il est nécessaire entre époux (12 %) ou partenaires de longue date (11 %).

« Au Canada, la plupart des agressions sexuelles sont commises par une personne connue de la victime et en qui elle a confiance », explique Mme Dugal. « Peu importe qu’un couple soit ensemble depuis longtemps ou non, le consentement sexuel est toujours requis. »

Suite : http://www.canadianwomen.org/fr/press-consent

 

DONNER LES MOYENS D'AGIR AUX FEMMES DES MINES DE L'EST DE LA RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO

Après deux décennies de guerre civile et de conflits larvés, les populations vulnérables vivant sur tout le territoire de la République démocratique du Congo (RDC) ont continuellement été chassées de leurs exploitations agricoles traditionnelles et forcées à chercher d'autres moyens de subsistance, parmi lesquels l'exploitation minière artisanale. On estime qu'il y aurait entre 500 000 et 2 millions de personnes qui travaillent de manière informelle dans les mines artisanales et de petite taille en RDC. Ces personnes connaissent une grande variété de problèmes sociaux et liés aux conditions de travail, mais les violations des droits humains et, plus spécifiquement, les violences sexuelles dont elles sont victimes, ont été particulièrement mises en avant par les médias internationaux et les ONG.

Des articles récents ont établi des liens étroits entre viols, conflits armés et extraction des ressources naturelles, alimentant des histoires de femmes qui se font violer par des bandes armées dans les zones minières de l'Est de la RDC. Toutefois, peu de travaux probants ont analysé à quel point cette version des faits correspond à la réalité des difficultés auxquelles les femmes sont confrontées dans les mines de la partie orientale de la RDC.  (…)

Une femme a raconté dans une interview à quel point les violences sexuels sont monnaie courante dans les exploitations minières informelles. Parlant du responsable d'une mine, elle explique qu'« il a dit à ses amis de ne pas travailler avec moi parce que j’ai refusé de coucher avec eux. Les femmes sont obligées de se prostituer pour avoir du travail. Vous êtes obligée de vous vendre et de vous tuer à la tâche pour nourrir vos enfants. » (…)

Suite : http://bit.ly/1IY48sP  

 

FEMMES AUTOCHTONES : « GRAVE VIOLATION » DES DROITS, DIT UN COMITÉ ONUSIEN

Le Canada a commis une « grave violation » des droits des femmes autochtones en n'en faisant pas assez pour contrecarrer la violence, et plus particulièrement les disparitions et les meurtres, dont elles sont victimes, affirme un comité d'experts du Haut-Commissariat aux droits de l'homme des Nations unies (HCDH).

Le comité qui surveille l'application de la Convention pour l'élimination de la discrimination à l'égard des femmes conclut que le Canada a violé quatre articles de l'entente interétatique, à laquelle il a adhéré en 1981.

Dans un rapport publié vendredi, le comité juge que les services policiers et le système judiciaire canadiens n'ont pas réussi à protéger les femmes autochtones, à faire en sorte que les auteurs de crimes répondent de leurs actes et à garantir réparation aux victimes.

Deux experts du comité ont mené une enquête au Canada en 2013, à la suite de plaintes d'organisations non gouvernementales, dont l'Association des femmes autochtones du Canada (AFAC). La même année, le rapporteur spécial de l'ONU sur les peuples autochtones avait aussi visité le pays et déploré les conditions socio-économiques des Premières Nations.

Comme d'autres avant lui, le comité recommande notamment la mise en place d'une commission d'enquête nationale et d'un plan d'action national, des mesures qu'Ottawa rejette.

La présidente intérimaire de l'AFAC, Dawn Harvard, juge le rapport « extrêmement important », puisqu'il s'ajoute à celui de la Commission interaméricaine des droits de l'homme, en janvier, qui affirmait que les droits des femmes autochtones au Canada sont bafoués. « Il est temps d'agir, maintenant », déclare Mme Harvard dans un communiqué.

Le gouvernement canadien nie avoir violé les droits des femmes autochtones inscrits dans la Convention, car selon lui, le comité n'a pas fait la preuve de manquements précis. (…)

Suite : http://bit.ly/1E3xYHn

 

#FHRITP: LA FAUSSE VIDÉO VIRALE À L’ORIGINE D’UNE «FARCE» SEXISTE TRÈS RÉPANDUE

Par Jeff Yates

Pour ceux qui doutent de l’influence que peuvent avoir les canulars web sur la «vraie vie», l’inspecteur viral vous suggère de continuer à lire.

Depuis quelque temps en Amérique du Nord, on assiste à un sorte de mode de mauvais goût qui affecte presqu’exclusivement les journalistes féminines de la télévision. De brillants spécimens de la race humaine semblent tous avoir eu la même idée à peu près en même temps: il serait si drôle d’aller crier «F*** her right in the p****» (Fou***-la dans sa ch**** – désolé pour le langage graphique, mais on doit bien comprendre ce dont on parle) à une journaliste lorsqu’elle fait un topo en direct à la télévision.

Ah! Hahaha! Que c’est drôle! (Laissez l’inspecteur sortir son étampe «Faux»!)

Le phénomène est si répandu que des journalistes ont commencé à répliquer. La journaliste Shauna Hunt s’est faite piéger la semaine dernière, alors qu’elle faisait une entrevue lors d’un match du club de soccer FC Toronto. Un homme passe et lance la phrase dans le micro. (En passant, son employeur serait sur le point de le remercier, selon la CBC) La journaliste confronte ses amis, qui attendaient tout près pour le voir exécuter ladite «blague». Elle démolit l’un d’entre eux. En ondes, en direct.

C’est de toute beauté.

«Je suis tannée, on me le fait une dizaine de fois par jour. C’est dégueulasse et c’est dégradant pour les femmes», lui lance-t-elle quand il se défend.

Vous doutez encore que ce soit un problème?

L’année dernière, deux collègues de la CBC à Montréal ont décidé de témoigner de ce que cette «blague» leur fait vivre. Morgan Dunlop et Tanya Birkbeck ont toutes deux expliqué pourquoi cette «blague», maintenant connue sous le nom #FHRITP, est sexiste, misogyne et pourquoi les petits comiques doivent arrêter de la répéter. «Est-ce que tu crierais [ça] en public à ta mère, à ta sœur ou à ta fille?» demandait Mme Birbeck.

Heureusement, l’opinion publique a commencé à basculer contre cette pratique. La police de Kingston a même laissé sous-entendre mardi que ceux qui crient la phrase en question à des journalistes pourraient s’exposer à des accusations. (…)

Suite : http://bit.ly/1es6Ycx

 

EN FIN DE COMPTE

« J’ai été coupable d’accorder plus d’importance aux hommes qu’aux femmes.
Je me suis royalement trompé. Par conséquent, à cause de cette mentalité mal placée,
j’étais en fait la moitié d’un homme. »

-Terry Crews
Acteur et auteur

 

 

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