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WOMEN FEMMES NB

 

 

DANS CE NUMÉRO :

Article en vedette :
Communiqué – Mise en œuvre de l’analyse comparative selon le genre dans le processus décisionnel du gouvernement   

Avis

Le saviez-vous ?

Actualités :
    -  20 moments forts pour les femmes en 2015
    -  Femmes autochtones disparues ou assassinées : des consultations précipitées ?
    -  Et si l'écart salarial entre femmes et hommes commençait avec l'argent de poche ?
    -  Violence conjugale: Le cellulaire peut être une arme à double tranchant   

Réflexions

 

Communiqué : Mise en œuvre de l’analyse comparative selon le genre dans le processus décisionnel du gouvernement
10 janvier 2016

FREDERICTON (GNB) – Le gouvernement provincial réalise désormais une analyse comparative selon le genre dans le cadre de son processus d'élaboration de politiques.

« Pour remettre le Nouveau-Brunswick en marche, nous devons nous assurer de répondre aux différents besoins relatifs à l’égalité des sexes », a déclaré le premier ministre, Brian Gallant, qui est également ministre responsable de l'Égalité des femmes. « Tenir compte des répercussions sur l’égalité des sexes appuie la prise de décisions, qui est axée sur la réalisation d’une plus grande égalité sociale, et garantit l’optimisation des possibilités pour tous les Néo-Brunswickois. »

L’application cohérente de l’analyse comparative selon le genre aux décisions prises par le gouvernement est appuyée par un outil normalisé et fondé sur les preuves. Cela permet de concevoir des programmes et des politiques en fonction d’une meilleure compréhension des renseignements démographiques et des circonstances personnelles de divers groupes de femmes et d'hommes, de filles, de garçons et de groupes de personnes qui définissent leur propre genre.

La stratégie d'analyse comparative selon le genre du gouvernement provincial a été élaborée par un groupe de travail interministériel.

http://bit.ly/1JIGphK

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AVIS

Sondage en ligne: Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées. Des familles et des collectivités autochtones, des organisations autochtones nationales ainsi que des organismes non gouvernementaux et internationaux demandent au gouvernement du Canada d’agir en ce qui concerne le nombre élevé de femmes et de filles autochtones disparues et assassinées, et d’établir une enquête nationale visant à élaborer une stratégie pour mettre fin à la violence. Ce sondage vous offre la possibilité d'exprimer votre opinion et de faire part de vos commentaires sur l'élaboration d'une enquête nationale comme le prévoit le Guide de discussion. Veuillez s'il-vous-plaît prendre le temps de consulter le Guide avant de remplir ce sondage. Vous aurez besoin d’environ dix minutes pour le remplir. Pour en savoir plus et pour remplir le sondage, visitez: http://bit.ly/1O5qmJE

Bulletin janvier 2016 de la Coalition pour l'équité salariale du Nouveau-Brunswick : http://www.equite-equity.com/nouvelles.cfm?news_id=165

Découvrez les parcours et les réalisations d’une centaine de femmes remarquables à travers « Portrait de la francophonie canadienne au féminin ». Ce livre célèbre le travail et l’engagement citoyen de femmes francophones, de 1914 à 2014, qui ont contribué à bâtir une société plus égalitaire. Célébrez la francophonie ou offrez un cadeau inspirant en commandant vos copies auprès de l’Alliance des femmes de la francophonie canadienne au 1-866-535-9422.  Pour en savoir plus : [email protected]  /  http://affc.ca/.

La Fondation Marichette Inc., un organisme à buts non-lucratifs, a été créée afin d’aider des femmes du Nouveau-Brunswick désireuses de poursuivre des études que ne leur permettent pas leurs ressources financières. Des bourses seront accordées à des femmes résidentes du Nouveau-Brunswick engagées à se sortir d’une situation de dépendance économique.  Les études doivent être en français et peuvent comprendre des cours d’alphabétisation et des études menant à un diplôme ou un certificat provincial d’un collège communautaire ou d’une université reconnue. Montant annuel maximum des bourses : de 5 000$ à 10 000$. Pour en savoir plus ou pour faire un don, contactez La Fondation Marichette Inc. au 51, rue Williams, Moncton, NB E1C 2G6. Tél :  506.204.5950

Perspectives actuelles au sein des organismes, conseils et commissions (OCC) du Nouveau-Brunswick : Les femmes et les hommes les plus qualifiés et ayant une intégrité personnelle et professionnelle des plus élevées sont invités à poser leur candidature pour rendre service au public au sein des organismes, conseils et commissions (OCC) du Nouveau-Brunswick. Pour plus d'informations, consultez le lien suivant : Opportunités actuelles d'OCC

Forum de concertation – Les voix des femmes du Nouveau-Brunswick – Contactez-nous : Édifice Sartain MacDonald, 551, rue King, Bureau 103,  Fredericton NB E3B 1E7, T. 506.462.5179, 1-844-462-5179,  F. 506.462.5069, C. [email protected],  www.voixfemmesnb-voiceswomennb.ca

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52 % des naissances au Canada en 2011 étaient attribuées à des femmes de 30 ans ou plus,
alors que 40 % des naissances au
Nouveau-Brunswick.
 
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Actualités :

20 moments forts pour les femmes en 2015

Le discours de Viola Davis aux Emmy Awards, la commission d’enquête sur les femmes autochtones disparues ou assassinées, l’élection historique en Arabie saoudite… 2015 a été une année riche pour l’actualité au féminin. Rétrospective des moments forts.

1.     Tina Fey et Amy Poehler se paient la tête de George Clooney
2.     Mindy Kaling s’affirme au Festival de Sundance 
3.     Un rapport accablant sur les agressions sexuelles dans l’armée
4.     Les femmes trans prennent la parole
5.     Le sexisme dans le show-business
6.     Les rondes sous les projecteurs
7.     Les victimes de Bill Cosby prennent la parole
8.     Les ingénieures contre-attaquent
9.     Mrs Universe brise le moule
10.  Décider entre hommes : une initiative locale qui fait jaser
11.  Viola Davis et son discours inoubliable aux Emmy Awards
12.  #ShoutYourAbortion : quand les réseaux sociaux servent à briser un tabou
13.  Lena Dunham et Hillary Clinton parlent féminisme
14.  Des développements pour les femmes autochtones disparues ou assassinées
15.  Ariana Grande fait taire les trolls
16.  Emma Watson rencontre Malala Yousafzai
17.  L’excision interdite en Gambie 
18.  « Because it’s 2015 »
19.  Un essai féministe distribué à tous les étudiants suédois
20.  Les femmes votent aux élections municipales en Arabie saoudite

Suite et descriptions complètes avec photos : http://bit.ly/1Rkvz43

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Femmes autochtones disparues ou assassinées : des consultations précipitées?

C'est [le matin du 6 janvier] à Thunder Bay dans le nord-ouest de l'Ontario qu'ont lieu les premières consultations de l'année, en vue d'établir les bases de la Commission d'enquête sur les femmes autochtones disparues ou assassinées.

Des familles vont rencontrer deux ministres fédérales dans le cadre de ces consultations précommission. Le but est d'entendre les commentaires des familles afin de déterminer la structure de fonctionnement des audiences.

Certaines familles et leaders de communautés ont déjà des inquiétudes quant au déroulement de ces consultations.

« C'est trop vite, pourquoi une telle hâte? » – Maggie Cywink

Un crime toujours pas résolu

La soeur Maggie Cywink, Sonja, a été assassinée à London en Ontario en 1994. L'annonce de la tenue d'une enquête nationale sur les femmes autochtones disparues ou assassinées a d'abord réjoui la femme, membre de la Première Nation de Whitefish River. Mais elle estime que celle-ci est bien mal partie.

« Je sens que les consultations sont mal organisées, j'ai l'impression qu'on va trop vite. » – Maggie Cywink

Maggie Cywink explique que de nombreuses familles sont toujours en processus de deuil et que les consultations doivent se faire dans le respect des traditions autochtones. Selon elle, le gouvernement de Justin Trudeau veut remplir rapidement ses promesses.

Invitations sur le tard

Les invitations à ces consultations ont été acheminées aux organismes autochtones le 30 décembre par le secrétariat qui sera responsable de coordonner les travaux de la Commission d'enquête.

Un problème que dénoncent certaines familles et leaders autochtones puisque des personnes n'ont pu se rendre à Thunder Bay à temps pour participer. La ministre de la Condition féminine qui participe aujourd'hui aux consultations, Patty Hajdu, dit en être consciente.

Trop d'implication?

Selon l'experte en commissions d'enquête publique, Kim Stanton, le gouvernement est déjà trop impliqué dans la phase de précommission. Elle estime qu'il est important que la Commission d'enquête sur les femmes autochtones disparues ou assassinées soit menée d'une façon indépendante.

Elle reconnait l'engagement des ministres dans ce dossier, mais croit que cela pourrait nuire à la crédibilité de la commission d'enquête.

Suite : http://bit.ly/1W4F7zt

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Et si l'écart salarial entre femmes et hommes commençait avec l'argent de poche ?

Et si l'écart de salaire qui profite aux hommes et discrimine les femmes ne commençait pas dans le monde de l'entreprise mais bien avant le début de la vie professionnelle ? Selon une récente étude anglaise, les petits garçons toucheraient en effet plus d'argent de poche que les fillettes.

Les femmes se heurtent au plafond de verre non seulement dans le monde de l'entreprise, où elles sont moins bien payées que leurs confrères, mais ont à subir ces écarts de salaire dès leur plus tendre enfance. C'est, en substance, ce que pointe une récente étude britannique. Réalisée par le cabinet d'études de marché Opinium auprès de 1 057 parents et relayée notamment par Grazia.co.uk et le Daily Mail, elle affirme que les petites filles seraient discriminées par rapport aux garçons dans leur rétribution par leur parents. Tandis qu'un garçon de 14 ans recevra en moyenne 11,47 livres sterling (15,67 euros) d'argent de poche par semaine, une fille du même âge doit se contenter de 10,67 livres (14,58 euros).

Interrogé par le Sunday Times, James Daley, qui dirige le site web des consommateurs Fairer Finances explique qu'il n'existe pourtant "aucune bonne raison expliquant pourquoi il devrait y avoir une différence entre le montant de l'argent de poche donné à un garçon et celui d'une fille". "Les parents doivent abandonner leur façon d'aborder le problème et éduquer leurs enfants selon le principe de l'égalité entre les sexes", poursuit-il.

Des tâches ménagères très sexuées

Cet écart de rémunération entre filles et garçons ne touche pas que les écoliers de Grande-Bretagne. Au printemps 2014, une étude cette fois-ci américaine révélait que les filles étaient aussi discriminées en matière de rétribution pour leur participation aux corvées domestiques. Selon la chercheuse Bryce Covert, qui a piloté l'étude, 67% des garçons interrogés ont affirmé recevoir une allocation, contre 59% des filles. (…)

Suite : http://bit.ly/1RpjxEX

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Violence conjugale: Le cellulaire peut être une arme à double tranchant

L’augmentation de l’utilisation du téléphone intelligent comme outil de contrôle par des conjoints agressifs entraîne une toute nouvelle réalité pour les victimes de violence conjugale et les organismes qui leur viennent en aide.

«C’est une arme de plus pour les conjoints violents, reconnaît d’entrée de jeu Sylvie Langlais, présidente du Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale (RMFVVC). C’est un moyen de contrôle, mais qui peut aussi assurer la sécurité des femmes et de leurs enfants.»

Entre la géolocalisation, le détail de l’itinéraire emprunté, le contrôle des messages et de l’historique web, les façons pour un conjoint violent d’augmenter son emprise sur sa victime sont nombreuses.

Contrôle incessant

Si l’espionnage via le cellulaire prend de l’ampleur depuis 2 à 3 ans, la technologie est utilisée depuis plus longtemps par des maris trop contrôlants.

«Mon conjoint regardait tout le temps sur mon ordinateur pour voir si je n’avais pas des rendez-vous cachés, il pensait que je le trompais avec ses amis, explique Marie-France, ancienne victime qui est sortie d’une relation violente en 2010. Mais certains s’en servent aussi pour filmer les ébats et s’en servir après pour menacer la femme.»

Face au phénomène, le téléphone intelligent est devenu l’un des premiers objets qu’on écarte des femmes qui souhaitent sortir du cycle de la violence conjugale. «Lorsqu’elles nous appellent, le téléphone est un des éléments qu’on évalue dans le scénario de sécurité, poursuit Sylvie Langlais. (…)

Suite : http://bit.ly/1PUXN25

 

 

Réflexions

« Une personne féministe est quelqu’un qui reconnaît l’égalité et l’humanité
complète des femmes et des hommes. »

-Gloria Steinem

 

 

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