Gouvernement du Nouveau-Brunswick

Le chapitre de l’Accord de libre-échange canadien (ALEC) portant sur la mobilité de la main-d’œuvre stipule que la reconnaissance professionnelle des travailleurs doit être reconnue par l’organisme de réglementation concerné d’une autre province ou d’un autre territoire canadien lorsqu’une demande à cet effet est déposée. Ainsi, les organismes de réglementation des professions de tout le pays doivent comparer le champ d’exercice et les compétences associés à chaque profession pour favoriser la mobilité des travailleurs agréés.

Le Nouveau-Brunswick a signé deux accords de commerce intérieur, soit l’Entente Québec-Nouveau-Brunswick sur la mobilité de la main-d’œuvre dans le domaine de la construction et chapitre 7 de Accord de libre-échange canadien (ALEC).

Les parties à l’ACI doivent aussi se communiquer les changements prévus à la législation qui pourraient avoir des répercussions sur la mobilité de la main-d’œuvre (par exemple changement des obligations, du champ d’exercice, du nom ou de la réglementation d’une nouvelle profession ou d’une catégorie de membre).

Les organismes de réglementation du Nouveau-Brunswick qui cherchent de l’information sur leurs obligations en matière de mobilité de la main-d’œuvre ou qui souhaitent discuter des changements apportés à la législation doivent communiquer avec leur coordonnateur provincial de la mobilité de la main-d’œuvre.